Decbel travaillait à Paris, son tampon en atteste et il vendait partout. Pour cela il faut un numéro de registre de commerce. Les recherches auprès des archives des chambres de commerce et de métiers départementales n’ont rien donné.

Au Tribunal de commerce de Paris non plus.

Donc, le 16 décembre 2019, direction les Archives de Paris. A la Porte des Lilas, ce sont elles qui ont les archives du tribunal de Commerce pour les années 1950-1960. Rien, pas de Decbel.

Tout ça semble indiquer qu’il n’y a pas eu d’entreprise au nom de Decbel dans les années 1950-1960. Alors sous un autre nom ? Personne, en France, en 2020 ne s’appelle Decbel. Et en 1950 ? Un nom d’artiste, de plume, une marque ? Mystère et boule de gomme.

Pourquoi n’y a-t-il pas de catalogue, de facture, de correspondance ? Seules quelques étiquettes au dos des tableaux indiquent les escales des oiseaux, comme celle de la librairie A Nostre Dame à Alger au dos du colibri ruby.

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